Rien de tel pendant les vacances qu'un polar de Ken Bruen. On rit (jaune parfois) et l'on ne s'ennuie pas une seconde. Dans ce troisième volet des aventures de R&B, nos deux acolytes de retour “enfoncent le clou”. Roberts est à la poursuite de l'assassin de son frère, une petite gouape chef de trafic de drogue. Brant, lui, traque un violeur en série, un “petit blanc” qui s'attaque uniquement à des femmes noires. Falls doit donc s'y coller et servir d'appât… Encore une fois, la lecture des mésaventures de cette équipe de choc fut réjouissante car les personnages gagnent en épaisseur mais sont toujours aussi méchants et franchement loin du politiquement correct. Je continue donc à suivre leurs réussites et leurs déboires avec assiduité et j'attends ferme des nouvelles des différents personnages récurrents, ainsi que de la “bleue” qui vient de débarquer, Sarah. Le meilleur moment du livre : la punition imaginée par deux femmes pour punir Mc Donald, le malotru de service… Je n'en dirai pas plus mais je vous laisse un indice : elles utilisent de la colle “Super glue”. Mesdames, si vous avez des idées, les commentaires sont ouverts…
Florilège :
“Brant avait une vraie tête de crapule qui faisait sa fierté. Il était aussi la honte de la police métropolitaine, qui le soupçonnait d'être une crapule. Il avait plusieurs bavures à son actif, ce qui le condamnait à rester sergent à vie. Mais il avait aussi réussi un certain nombre de gros coups spectaculaires, suffisamment relayés par les médias pour que ça ait sauvé sa carrière.” p. 19
Florilège :
“Brant avait une vraie tête de crapule qui faisait sa fierté. Il était aussi la honte de la police métropolitaine, qui le soupçonnait d'être une crapule. Il avait plusieurs bavures à son actif, ce qui le condamnait à rester sergent à vie. Mais il avait aussi réussi un certain nombre de gros coups spectaculaires, suffisamment relayés par les médias pour que ça ait sauvé sa carrière.” p. 19
Les pensées métaphysiques de Falls : “On devrait coller une pancarte aux hommes : “Dangereux pour la santé”…”. p. 60 …ou de Brant “Les femmes qui parlent, elles me gênent pas. C'est vrai, merde, ça distrait… Par contre, j'ai horreur de celles qui croient qu'elles ont quelque chose à dire.” p. 69
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